Fabuleux soleil à l’aplomb en cet instant, il fait reluire le bitume,
il le fait transpirer, comme je transpire, il y a dans le ciel quelques
nuages blancs qui se déplacent, j’espère que Quiquimiel est dedans.
En rejoignant à pied la terrasse du café, mes yeux balayent les
trottoirs, remplis de gens de toutes sortes, mangeant, criant,
téléphonant, je ne vois qu’elle un peu plus à nouveau, comme une
seconde apparition.
Son dos fait face à mes yeux, lors de mon approche, elle est assise
à une table, elle se retourne, et lève les yeux.
il le fait transpirer, comme je transpire, il y a dans le ciel quelques
nuages blancs qui se déplacent, j’espère que Quiquimiel est dedans.
En rejoignant à pied la terrasse du café, mes yeux balayent les
trottoirs, remplis de gens de toutes sortes, mangeant, criant,
téléphonant, je ne vois qu’elle un peu plus à nouveau, comme une
seconde apparition.
Son dos fait face à mes yeux, lors de mon approche, elle est assise
à une table, elle se retourne, et lève les yeux.
Lieu et sa personne font chavirer les cœurs, moi ma personne à
déjà sombré dans des lieux imaginaires.
déjà sombré dans des lieux imaginaires.
L’air rassuré, bien plus que moi, elle fait le premier pas, le premier
pas pour m’embrasser, pas sur la joue, un baiser posé sur ma bouche,
si elle a de l’air dans ses poumons, moi je suis asphyxié.
Dérobés sous mes lunettes de soleil, mes yeux se promènent sur elle.
pas pour m’embrasser, pas sur la joue, un baiser posé sur ma bouche,
si elle a de l’air dans ses poumons, moi je suis asphyxié.
Dérobés sous mes lunettes de soleil, mes yeux se promènent sur elle.
Irréel tableau, un chapeau de paille, un ruban au vent dans ses
cheveux dorés, une nouvelle robe en mousseline couleur chair,
sa taille fine, ses doigts fins, qu’est-ce que ma laideur fait ici auprès
d’elle, parmi ces gens ?
Sans tarder, les deux coins de sa bouche se relèvent, et je suis un peu plus décontracté, mais je ne suis plus moi.
cheveux dorés, une nouvelle robe en mousseline couleur chair,
sa taille fine, ses doigts fins, qu’est-ce que ma laideur fait ici auprès
d’elle, parmi ces gens ?
Sans tarder, les deux coins de sa bouche se relèvent, et je suis un peu plus décontracté, mais je ne suis plus moi.
Parfois sa robe avec le vent léger, touche ma jambe, les effluves
de mille parfums qui se dégagent d’elle me transportent je ne sais où,
telle une œuvre parfaite, il ne faut rien ajouter, surtout rien retirer,
là mon petit univers bien sombre vient de s’éclairer, elle l’illumine.
Culmine plus aucun nuage dans le ciel, je suis livré à moi-même.
de mille parfums qui se dégagent d’elle me transportent je ne sais où,
telle une œuvre parfaite, il ne faut rien ajouter, surtout rien retirer,
là mon petit univers bien sombre vient de s’éclairer, elle l’illumine.
Culmine plus aucun nuage dans le ciel, je suis livré à moi-même.
Suprême durée, du café sous une ombrelle pour nous protéger du
soleil de l’après-midi, nous sommes passés au souper à la lumière
tamisé du restaurant près du lac, puis, nous marchons sur les berges
à la lueur de la lune et des étoiles.
Voiles quelque peu dissipés de fatigue dans ses yeux, il est quatre
heures du matin, main dans la main, elle m’enlace et m’embrasse, je suis façon : convulsions.
On se tourne le dos avec un rendez-vous de dîner, elle est invitée à
une soirée chez des amis, elle souhaite, si je le désire, que je
l’accompagne.
Anas De Bernieras
soleil de l’après-midi, nous sommes passés au souper à la lumière
tamisé du restaurant près du lac, puis, nous marchons sur les berges
à la lueur de la lune et des étoiles.
Voiles quelque peu dissipés de fatigue dans ses yeux, il est quatre
heures du matin, main dans la main, elle m’enlace et m’embrasse, je suis façon : convulsions.
On se tourne le dos avec un rendez-vous de dîner, elle est invitée à
une soirée chez des amis, elle souhaite, si je le désire, que je
l’accompagne.
Anas De Bernieras
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