Quiquimiel

                                                                             


     Décrivant cette œuvre, je dirais sensibilité.
Éprouver, il faut éprouver pour peindre, aucune confusion possible dans ce que l’on ressent.
Découvrant la vie intérieur de deux êtres, exprimer l’intensité des regards, peindre des yeux n’est pas suffisant, il faut aimer pour réussir un tableau de ce genre, une esquisse de la vie, de l’amour.
Pour beaucoup de nous, nous vivons, par lui, par l’espoir qu’il nous offre, les souvenirs aussi.
Ainsi, cette femme est pour moi une fragrance, qui ne pourrait être d’aucune autre, une douceur, toute une vie exprimée avec son mystère, son secret, QuiEsTelle est sur le seuil de l’entrée.
Dévoilée, dès à présent, d’un extrait de son voile l’enveloppant, le premier reflet discret d’elle, me fait tressaillir.
Découvrir discrètement, ses cheveux, ses oreilles, son visage et son coup, elle est la jumelle de ...
De plus prêt, quoique à peine visible, une tache de beauté du côté gauche, en descendant vers son épaule, de couleur miel, ruisselle.
Elle a tout d’elle.
QuiQuiMiel.


Anas De Bernieras



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